Toujours en quête de nouvelles campagnes publicitaires, voici les nouvelles opérations de street marketing dans le monde.
samedi 12 décembre 2009
mercredi 9 décembre 2009
Mac vs PC
Les nouveaux spots publicitaires montrent donc deux personnages sur un traditionnel fond blanc uni. L’un, habillé en costume, d’un certain âge et ayant l’air un rien trop sérieux, représente le PC tandis que l’autre, plutôt jeune et décontracté, habillé en jean et t-shirt, représente le Mac. Les deux personnages discutent de tout ce qui concerne l’informatique, les réseaux, la sécurité, les logiciels, etc.
Si cette campagne de publicité marque un revirement vers une communication plus agressive de la part d’Apple, c’est également la première fois que la firme communique sur le fait que son système ne craint pas les virus, sûrement pour palier aux nombreux problèmes de sécurité rencontrés dernièrement et aux risques pour sa réputation. Tous ces spots publicitaires sont disponibles sur le site d’Apple.
Il faut savoir qu’en France, la publicité comparative est autorisée si elle est loyale et véridique. Ainsi elle ne doit pas induire le consommateur en erreur et la comparaison doit être objective. La publicité comparative est strictement encadrée et ne doit comparer que des produits de même nature. Etant potentiellement déloyale, elle est autorisée dans la mesure où elle constitue un moyen d’information du consommateur. C’est pour ces raisons que l’on voit peu ce type de publicité en France.
Si cette campagne de publicité marque un revirement vers une communication plus agressive de la part d’Apple, c’est également la première fois que la firme communique sur le fait que son système ne craint pas les virus, sûrement pour palier aux nombreux problèmes de sécurité rencontrés dernièrement et aux risques pour sa réputation. Tous ces spots publicitaires sont disponibles sur le site d’Apple.
Il faut savoir qu’en France, la publicité comparative est autorisée si elle est loyale et véridique. Ainsi elle ne doit pas induire le consommateur en erreur et la comparaison doit être objective. La publicité comparative est strictement encadrée et ne doit comparer que des produits de même nature. Etant potentiellement déloyale, elle est autorisée dans la mesure où elle constitue un moyen d’information du consommateur. C’est pour ces raisons que l’on voit peu ce type de publicité en France.
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Michael Bay, signe la nouvelle campagne de Victoria's Secret
Le réalisateur des deux films Transformers, Michael Bay, signe la publicité pour la collection de Noël 2009 de la marque américaine de lingerie Victoria’s Secret.
Habitué des grosses productions hollywoodiennes (Armageddon, Bad Boys), Michael Bay a fait défiler les mannequins sur une musique heavy-metal au milieu de motos, d’hélicoptères et d’explosions, dans un festival de fantasmes masculins.
D’autres scènes plus douces montrent les "anges de la marque", ailes dans le dos, dont Miranda Kerr, Doutzen Kroes et Alessandra Ambrosio sur d’immenses lits.
A voir les mannequins en lingerie ramper sur une table de billard, ou s’appuyer sur une puissante cylindrée, c’est le mot "cliché" qui vient à l’esprit.
Exactement ce que voulait la marque, qui a baptisé sa campagne "One Gift - A Thousand Fantasies", ("un cadeau, un millier de fantasmes").
Michael Bay n’est pas le seul réalisateur de films à donner dans la publicité. C’est avec le film publicitaire de Baz Luhrmann pour Chanel N°5, avec l’actrice Nicole Kidman, que la tendance a été lancée, en 2005.
Récemment, Dior a annoncé que David Lynch réaliserait le deuxième court-métrage de la campagne "Lady Dior" (après le Français Olivier Dahan, réalisateur de La Môme) et Chanel pourrait avoir fait appel à Martin Scorsese pour sa nouvelle publicité pour le parfum Chanel N°5.
Habitué des grosses productions hollywoodiennes (Armageddon, Bad Boys), Michael Bay a fait défiler les mannequins sur une musique heavy-metal au milieu de motos, d’hélicoptères et d’explosions, dans un festival de fantasmes masculins.
D’autres scènes plus douces montrent les "anges de la marque", ailes dans le dos, dont Miranda Kerr, Doutzen Kroes et Alessandra Ambrosio sur d’immenses lits.
A voir les mannequins en lingerie ramper sur une table de billard, ou s’appuyer sur une puissante cylindrée, c’est le mot "cliché" qui vient à l’esprit.
Exactement ce que voulait la marque, qui a baptisé sa campagne "One Gift - A Thousand Fantasies", ("un cadeau, un millier de fantasmes").
Michael Bay n’est pas le seul réalisateur de films à donner dans la publicité. C’est avec le film publicitaire de Baz Luhrmann pour Chanel N°5, avec l’actrice Nicole Kidman, que la tendance a été lancée, en 2005.
Récemment, Dior a annoncé que David Lynch réaliserait le deuxième court-métrage de la campagne "Lady Dior" (après le Français Olivier Dahan, réalisateur de La Môme) et Chanel pourrait avoir fait appel à Martin Scorsese pour sa nouvelle publicité pour le parfum Chanel N°5.
lundi 16 novembre 2009
ADIA : recrutons humains
Adia lance une nouvelle campagne contre les discriminations avec pour slogan "recrutons humains".
“Voici un salarié qui n’a pas de couleur de peau, pas de convictions religieuses, pas de handicap, et qui n’aura jamais de problème d’haleine”, c’est ce que nous dit l’une des affiches de la campagne de communication d’Adia, groupement d’agences d’interim.
“Cette campagne se positionne dans la droite ligne de l’engagement d’Adia depuis près de dix ans pour la lutte contre les discriminations et du process d’évaluation de recrutement ORA qui garantit une sélection des candidats uniquement sur les compétences.”
Disney Land dans le collimateur de SOS Racisme
Un huissier s'est rendu ce mercredi matin chez DisneyLand Resort Paris afin de saisir des fichiers sur les salariés à caractère ethno-raciale.
L'association SOS Racisme, qui a déposé plainte le 12 février 2007, reproche à Disney la publication, dans le quotidien gratuit "20 Minutes", les 11, 12 et 13 septembre 2006, d'une offre d'emploi demandant aux candidats d'être "majeur(e), intéressé(e) et de nationalité européenne", pour pourvoir des postes au sein du parc de loisirs de Marne-la-Vallée. Le fait de subordonner une offre d'emploi à une condition de nationalité est constitutif du délit de discrimination à l'embauche, souligne l'association dans sa plainte.
La société Disney, plus important employeur privé de Seine-et-Marne, a affirmé à l'AFP ne pas "être au courant du dossier", confirmant qu'aucun de ses employés n'avait été entendu par les enquêteurs. "Disney est une société non-discriminatoire. Nous avons des employés de nombreuses nationalités, car nous souhaitons pouvoir accueillir les visiteurs dans plusieurs langues", a réagi sur le fond un porte-parole.
Djamila Ouaz, responsable de la section syndicale CFDT de Disney, a affirmé que le syndicat n'avait "pas aujourd'hui d'éléments étayant les dires de SOS Racisme, et qu'il n'y avait a priori "pas de discrimination à Disney". Elle aussi a invoqué une "erreur" dans la formulation de l'offre d'emploi et expliqué qu'il y avait "un besoin dans l'entreprises d'employés parlant les langues européennes", ce qui est "difficile à trouver parmi les Français". Pour SOS Racisme, Disney "entretient sciemment la confusion entre langue et nationalité". L'association accuse l'entreprise de "mener une politique de quota par nationalité (et par langue) dans ses recrutements afin de correspondre aux proportions de clients de ces nationalités".
Affaire à suivre...
Il faut rappeler qu'en France une loi de 1978 interdit de ficher les individus selon des critères ethniques. Or des entreprises sont soupçonnées d'avoir recours à ces pratiques.
Une information judiciaire est ouverte à Meaux (Seine-et-Marne), en Ile-de-France, depuis avril 2007, à la suite d'une plainte de l'association SOS Racisme contre Disneyland Resort Paris pour "discrimination raciale à l'embauche".
Une information judiciaire est ouverte à Meaux (Seine-et-Marne), en Ile-de-France, depuis avril 2007, à la suite d'une plainte de l'association SOS Racisme contre Disneyland Resort Paris pour "discrimination raciale à l'embauche".
L'association SOS Racisme, qui a déposé plainte le 12 février 2007, reproche à Disney la publication, dans le quotidien gratuit "20 Minutes", les 11, 12 et 13 septembre 2006, d'une offre d'emploi demandant aux candidats d'être "majeur(e), intéressé(e) et de nationalité européenne", pour pourvoir des postes au sein du parc de loisirs de Marne-la-Vallée. Le fait de subordonner une offre d'emploi à une condition de nationalité est constitutif du délit de discrimination à l'embauche, souligne l'association dans sa plainte.
La société Disney, plus important employeur privé de Seine-et-Marne, a affirmé à l'AFP ne pas "être au courant du dossier", confirmant qu'aucun de ses employés n'avait été entendu par les enquêteurs. "Disney est une société non-discriminatoire. Nous avons des employés de nombreuses nationalités, car nous souhaitons pouvoir accueillir les visiteurs dans plusieurs langues", a réagi sur le fond un porte-parole.
Djamila Ouaz, responsable de la section syndicale CFDT de Disney, a affirmé que le syndicat n'avait "pas aujourd'hui d'éléments étayant les dires de SOS Racisme, et qu'il n'y avait a priori "pas de discrimination à Disney". Elle aussi a invoqué une "erreur" dans la formulation de l'offre d'emploi et expliqué qu'il y avait "un besoin dans l'entreprises d'employés parlant les langues européennes", ce qui est "difficile à trouver parmi les Français". Pour SOS Racisme, Disney "entretient sciemment la confusion entre langue et nationalité". L'association accuse l'entreprise de "mener une politique de quota par nationalité (et par langue) dans ses recrutements afin de correspondre aux proportions de clients de ces nationalités".
Affaire à suivre...
La Halde contre l'homophobie au travail
Une série de 10 programmes courts est diffusée par France 3 à partir du lundi 28 septembre. Ces épisodes de la série Flagrants délits retracent des situations et des lieux de notre vie quotidienne à partir de faits réels extraits de dossiers de réclamations.
La Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité (Halde) «souhaite que la diffusion de ces programmes courts fasse ressentir à chacun le choc de la discrimination».
Chaque cas de discrimination est traité «à la première personne», c'est-à-dire au moyen d'une pseudo caméra subjective, et le sujet de la discrimination n'est dévoilé qu'à la fin. Regardez ici le spot sur la discrimination contre les homosexuels, qui prend l'exemple d'une lesbienne victimes d'injures homophobes au travail – et de l'indifférence de son patron.
La Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité (Halde) «souhaite que la diffusion de ces programmes courts fasse ressentir à chacun le choc de la discrimination».
Chaque cas de discrimination est traité «à la première personne», c'est-à-dire au moyen d'une pseudo caméra subjective, et le sujet de la discrimination n'est dévoilé qu'à la fin. Regardez ici le spot sur la discrimination contre les homosexuels, qui prend l'exemple d'une lesbienne victimes d'injures homophobes au travail – et de l'indifférence de son patron.
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samedi 24 octobre 2009
La femme dans la pub : entre discrimination et sexisme
D’un point de vue éthique, la publicité et les médias ne devraient ni porter atteinte à la dignité humaine, ni comporter de discriminations.
Cependant, la publicité regorge encore de stéréotypes relatifs aux ethnies, aux classes sociales, aux religions et aux sexes.
La femme à souvent le rôle d'un objet réduit au silence et qui n'a pour seul attrait que le physique.
Mais qu'est ce que le sexisme ?
Le sexisme représente une discrimination envers l'autre sexe, auquel on refuse l'égalité.
Dans la publicité, les femmes occupent un rôle central.
Elles sont utilisés principalement comme illustration du produit, notamment si elles sont elles-mêmes la cible de la publicité. Elles peuvent être représentées aussi bien idéalisées (top-modèles) que dégradées (prostituées), leurs capacités intellectuelles sont souvent minimes et le corps féminin est réduit à un instrument de séduction ou a un objet de désir.
On remarque souvent ce type de sexisme dans les publicité pour les voitures car les voitures comme les femmes sont le signe de virilité chez les hommes (ils doivent s'approprier les deux pour être reconnu de leur pairs.)
Allez voir ce site, qui analyse le rôle de la femme et le sexisme dans la publicité.
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